Canapé Harry Bobochic : grand format et velours côtelé, une valeur sûre ou un pari risqué ?

🔁 Mis à jour le 29 juillet 2025 · 🖊️ Par Nicolas
Checked Icon En bref :
Résumé généré à partir du test complet.

Le canapé Harry Bobochic est un canapé d’angle 3 places au format généreux, avec mousse haute densité, revêtement velours côtelé doux et confort équilibré. Non convertible, non réversible, mais robuste et bien conçu pour un usage quotidien. Idéal pour grand salon.

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Pas convertible, pas réversible… et pourtant, il fait parler de lui.
Le canapé Harry Bobochic, avec son format généreux et son revêtement en gros velours côtelé, divise autant qu’il séduit.
On a analysé tous ses points forts (et ses limites) pour savoir s’il vaut vraiment son prix.
Spoiler : il ne fait pas semblant.

À lire : Jetez un œil à notre sélection de canapés Bobochic pour comparer d’autres modèles.

Fiche technique du canapé Harry Bobochic

CaractéristiqueDétail
TypeCanapé d’angle fixe 3 places avec méridienne
RevêtementGros velours côtelé doux 100 % polyester, toucher moelleux
ConfortAssise équilibrée, mousse haute densité + cales-reins pour soutien lombaire
StructureBois massif (pin, hêtre) et panneaux de particules
ModularitéMéridienne non réversible, modèle non convertible
FixationÉléments à assembler via glissières, montage simple à deux personnes
DimensionsLongueur : 273 cm • Profondeur : 174 cm • Hauteur : 68 cm • Hauteur d’assise : 39 cm
EntretienNon déhoussable • Nettoyage régulier à l’aspirateur ou avec un chiffon doux humide
Garantie2 ans constructeur • Retours possibles sous conditions en cas de défaut
Prix1 499 € en promo (1 699 € prix catalogue) • Paiement jusqu’à 36x
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Présentation rapide du canapé Harry Bobochic

Un design moderne et chaleureux

Clairement, ce n’est pas le genre à faire tapisserie.
Le canapé d’angle fixe Harry pose son style sans en faire trop. Lignes droites, accoudoirs massifs, coins adoucis : tout est là pour marquer visuellement sans saturer l’espace. C’est net, contemporain, presque rassurant. On sent une recherche d’équilibre entre sobriété et caractère.

(Et pour une fois, ça ne ressemble pas à un énième copier-coller scandinave.)

Il fonctionne bien dans un intérieur épuré, mais il a aussi assez de présence pour réveiller un salon un peu trop sage.

Bref : c’est un canapé qui s’affirme, sans dominer.

Un revêtement en gros velours côtelé doux

Là où il surprend vraiment, c’est au toucher.
Le canapé velours côtelé Harry ne fait pas dans la demi-mesure. Le gros velours est dense, moelleux, texturé. Pas le petit velours lisse qu’on oublie en deux secondes. Ici, le tissu accroche la main, invite à s’asseoir — et donne envie d’y rester.

C’est aussi un canapé en velours épais qui assume sa singularité : côtes horizontales, grain prononcé, fini mat. Un vrai choix de matière, pas un simple habillage.

Et surtout, ça vieillit bien.
Pas de bouloches au bout de deux semaines, ni d’effet pelucheux dès la première sieste. Le tissu affiche 100 000 cycles Martindale. En clair : il peut encaisser les usages intensifs.

Est-ce que ça change quelque chose au quotidien ? Oui. Clairement.

Plusieurs coloris pour s’adapter à tous les intérieurs

C’est souvent là que ça pêche. Un seul coloris triste, ou des teintes sans âme.
Ici, Bobochic a bien joué. Le canapé Harry est dispo en huit couleurs, toutes bien senties. Pas juste jolies : utiles pour s’intégrer dans différents styles d’intérieur.

  • Taupe : la valeur sûre, chaleureuse mais neutre.
  • Orange : vive sans hurler, parfaite pour un salon un peu terne.
  • Vert velours : sophistiqué, avec une touche naturelle.
  • Jaune : cosy et solaire.
  • Bleu foncé : profond, chic, presque formel.
  • Gris clair : lumineux, facile à assortir.
  • Gris foncé : plus dense, plus masculin dans l’esprit.
  • Et une déclinaison beige, pour ceux qui veulent tout jouer à l’équilibre.

Les finitions sont bien exécutées, sans variation visible entre les modèles.
Et pour ceux qui hésitent : oui, les couleurs peuvent sembler un peu différentes selon la lumière ou l’écran. Mais dans l’ensemble, le rendu réel est fidèle. Et flatteur.

Canapé Harry Bobochic en velours côtelé grosse maille

En bref :

  • Design affirmé mais équilibré : lignes sobres, allure moderne.
  • Revêtement en tissu côtelé doux, effet cocon garanti.
  • Velours épais et robuste, qui tient dans le temps.
  • Palette riche de couleurs tendances, du taupe classique au vert audacieux.
  • Format non convertible et non réversible : à anticiper selon la configuration du salon.

Confort du canapé Harry de Bobochic : que vaut-il à l’usage ?

Bon.
Joli, c’est bien. Mais on ne s’assoit pas dans une photo.
Alors la vraie question, c’est : qu’est-ce que ça donne, une fois posé dedans ?
Parce qu’un canapé, ça doit tenir le dos, accueillir les fesses, encaisser les séries de 3h, les plateaux repas du dimanche, les siestes imprévues. Et les gens, aussi.

Une assise équilibrée et accueillante

Ce n’est pas un canapé-mou. Ni un canapé-dur.
C’est un entre-deux. Et franchement, c’est souvent ce qu’on cherche.

Ici, l’assise repose sur un mix qu’on connaît : mousse HR, mousse HD, ouate. Mais bien dosée, cette combinaison-là peut faire des miracles. Et à lire les densités — 40, 35, 30 kg/m³ — c’est pas du décoratif.

Résultat (théorique, mais crédible) : on s’enfonce juste ce qu’il faut, puis ça bloque, ça tient. Pas de creux au bout de deux semaines. Pas de sensation de rebond cheap.

C’est le genre d’assise qu’on oublie quand elle est bien faite. Et qu’on maudit quand elle ne l’est pas.

Est-ce que ça conviendra à tout le monde ? Non. Mais ça coche la case : “je peux rester assis longtemps sans avoir mal nulle part”. Et ça, ça vaut cher.

Une méridienne spacieuse pour se détendre

Elle est large. Très large.
118 à 133 cm de profondeur, selon qu’on garde les coussins ou non. On peut presque dormir en travers.

Et c’est là qu’on voit la différence avec les modèles “design d’abord” : ici, on peut s’allonger sans se tordre le dos. On peut même s’allonger à deux, si on est complices.

Pas de coffre, pas de conversion, pas de promesse de lit d’appoint. Non.
Juste un coin pour soi. Pour souffler. Pour s’effondrer.

Et ce “juste” là, il est précieux.

Deux coussins cales-reins fournis

Pas de coussins déco ici. Pas de gadgets en forme de nœud.
Deux vrais cales-reins. Massifs. Utiles. Qu’on cale sous les lombaires ou derrière les cuisses, selon l’humeur.

On les oublie souvent dans les tests, ces coussins-là. Parce qu’ils ne brillent pas. Mais ils font la différence, surtout quand l’assise est profonde.

Et ceux-là, on les garde. Parce qu’ils tiennent bien. Parce qu’ils épousent. Parce qu’ils évitent les “petits creux” qu’on comble d’habitude avec un plaid roulé.

Dimensions du canapé Harry Bobochic

À retenir, sans fioritures :

  • Assise tenue, confortable, bien équilibrée. Pas d’effet trampoline.
  • Méridienne oversize : on peut s’y perdre, et c’est tant mieux.
  • Coussins cales-reins bien pensés, et pas juste posés là pour la photo.
  • Pas de coffre, pas de convertible : tout pour le confort, rien de superflu.

Dimensions et encombrement : le canapé Harry est-il adapté à votre salon ?

C’est là qu’on revient sur terre.
Parce qu’avant de parler velours et coussins, il faut être sûr que le canapé passe la porte. Puis le couloir. Puis qu’il trouve sa place sans bouffer tout l’espace.
Le canapé Harry Bobochic, c’est pas un format discret. C’est un modèle qui assume sa taille, et qui demande un minimum de place pour respirer.

Mais est-ce que ça rentre chez vous ? On détaille.

Longueur, profondeur, hauteur : les mesures clés

273 cm de long, 174 cm de large, 68 cm de haut. Voilà les chiffres.
Concrètement ? C’est un canapé d’angle 3 places, mais version grand gabarit. On est clairement sur un canapé pour grand salon, pas pour studio parisien.

Ce qu’il faut regarder :

  • Largeur d’assise totale : 213 cm. De quoi accueillir trois adultes sans que les coudes se frôlent.
  • Profondeur d’assise (partie centrale) : 56 à 71 cm selon les coussins. Donc confortable, sans être un gouffre.
  • Méridienne : 118 à 133 cm de profondeur. Là, c’est XL. Clairement pensée pour s’allonger.

Et malgré sa taille, la hauteur reste contenue : 68 cm en tout, assise à 39 cm. Ça donne un profil bas, assez moderne, qui allège visuellement l’ensemble.

À retenir si vous hésitez : on est sur un canapé 270 cm de long, assez imposant mais pas écrasant si la pièce est bien proportionnée. Le look “posé au ras du sol” aide à l’intégrer.

Volume des colis et montage

Deux cartons. Deux beaux morceaux.

  • Colis 1 : 155 × 115 × 66 cm, 54 kg
  • Colis 2 : 124 × 176 × 66 cm, 58 kg

Faites le calcul : 112 kg en tout. Pas le genre qu’on déplace en claquant des doigts.

À monter soi-même, oui. Mais on est loin du meuble à visser en 12 minutes. C’est livré en kit, avec une structure à assembler et des éléments à emboîter proprement.
Rien d’infaisable, mais mieux vaut être deux motivés, surtout pour la mise en place de la méridienne.

Côté livraison, plusieurs options :

  • Livraison à domicile simple
  • Livraison confort dans la pièce
  • Montage inclus (payant, mais salvateur)

Et c’est à noter : le canapé est fabriqué en Europe, donc les délais sont corrects (en général sous 3 semaines), avec une livraison différée possible à 9 € pour ceux qui emménagent plus tard.

Canapé d'angle Harry Bobochic en velours cotelé

En clair, côté encombrement :

  • Canapé taille XL salon : 273 × 174 cm, format généreux mais bien proportionné.
  • Méridienne large : parfaite pour s’allonger, mais à prévoir dans l’espace.
  • Deux colis imposants (112 kg à deux), montage simple mais costaud.
  • Livraison à la carte : de la porte au montage complet, selon budget.

Matières, structure et durabilité : que cache ce canapé ?

Parce qu’un canapé, ce n’est pas juste une belle surface.
C’est ce qu’il y a dessous qui compte. La structure, le garnissage, les fixations… tout ce qu’on ne voit pas à l’achat, mais qu’on ressent au bout de quelques mois.

Le canapé Harry Bobochic ne cherche pas à épater avec des technologies inutiles. Il joue la carte du robuste, avec des matériaux classiques, mais bien choisis.

Voyons ce que ça donne quand on soulève le capot.

Une structure bois solide (pin + hêtre)

Pas de métal, pas de plastique pour les éléments porteurs.
Ici, on est sur une structure en bois massif, principalement pin pour la souplesse, hêtre pour la tenue. Deux essences connues, fiables, bien maîtrisées en ameublement.

Ce duo, c’est un peu le combo gagnant :

  • Le pin absorbe les tensions,
  • Le hêtre encaisse sans broncher.

Ajoutez à ça quelques panneaux de particules (classique sur les zones secondaires), et vous obtenez un cadre solide, stable, fait pour durer.

Ce n’est pas du sur-mesure de menuisier. Mais dans cette gamme, on est au-dessus du standard.

Détail qui compte : la fabrication est européenne, avec un vrai contrôle qualité à la sortie d’usine. Ce n’est pas toujours le cas.

Mousse haute densité et garnissage généreux

C’est dans les chiffres que ça se joue.
Et ici, ils sont bons.

  • Densité assise : jusqu’à 40 kg/m³
  • Densité dossier : 30 et 25 kg/m³
  • Garnissage en mousse HR + ouate, et silicone pour les coussins cales-reins.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que plus la densité est élevée, plus la tenue dans le temps est bonne.
Et à 40, on est dans le haut de ce qu’on trouve sur des modèles grand public.

Résultat (prévisible mais rassurant) :

  • L’assise ne s’écrase pas.
  • Le dossier garde son gonflant.
  • Les coussins reprennent leur forme.
    Et ça, même après 100 soirées à refaire le monde ou 3 saisons d’affilée sur Netflix.

C’est généreux, mais pas mou. Structuré, mais pas rigide.

Résistance du tissu (Martindale 100 000 cycles)

Le chiffre est là, noir sur blanc : 100 000 cycles Martindale.

Pour donner une idée :

  • 15 000 cycles = usage domestique normal.
  • 25 000 = usage intensif.
  • 50 000 = usage professionnel.
  • 100 000 = vous pouvez y vivre, y dormir, y sauter, y pleurer.

Ce revêtement velours côtelé a donc été testé pour encaisser. Et ça se sent au toucher : c’est dense, épais, résistant aux accrocs.

Alors non, il n’est ni déperlant, ni anti-bouloches. Mais on ne peut pas tout avoir.
Et entre un tissu lisse qui craint les griffes et un velours robuste qui se patine bien… on sait ce qu’on préfère.

Canapé bas Harry Bobochic en gros côtelé doux

En somme, sous le tissu :

  • Structure en pin + hêtre, pour un cadre robuste et stable.
  • Garnissage sérieux : mousses haute densité, tenue longue durée.
  • Tissu Martindale 100 000 cycles : taillé pour le quotidien intense.
  • Pas de gadgets, mais des choix francs et durables.

Ce que disent les clients sur le canapé Harry de Bobochic

On peut éplucher les fiches techniques, analyser les mousses, zoomer sur les tissus…
Mais parfois, c’est une phrase dans un avis client qui dit tout. Parce qu’elle vient du terrain. Parce qu’elle résume une expérience vécue. Parce qu’elle tranche.

Alors, que pense vraiment le public du canapé Harry Bobochic ?
On a lu, recoupé, analysé. Et voilà ce qui ressort.

Avis positifs : confort et esthétique au rendez-vous

“Magnifique canapé et confortable”, dit Fidji Melissa.
C’est court, mais c’est net.

Et elle n’est pas la seule. Ce qui revient souvent, c’est ce double effet visuel + confort immédiat.
Le canapé d’angle en velours côtelé plaît par sa présence : il habille une pièce sans en faire trop. Son revêtement doux séduit d’emblée, autant au toucher qu’à l’œil. Et une fois assis, l’assise équilibrée tient ses promesses.

Les gens parlent aussi de :

  • La largeur de la méridienne : vraie zone de repos.
  • Les couleurs : bien choisies, fidèles aux photos, actuelles.
  • La tenue du tissu : “on sent que ça ne va pas se détendre en deux semaines”.

Bref, pas de fausses promesses, pas d’effet trompe-l’œil. Le Harry livre ce qu’il annonce.

Points à surveiller : pas convertible, ni réversible

C’est parfois écrit en tout petit. Mais ça peut faire une vraie différence selon les besoins.

Le canapé Harry n’est pas convertible : aucun module lit, aucun système de couchage d’appoint. Et il est non réversible : la méridienne est fixée d’un seul côté (à choisir à l’achat).
Pas de jeu possible après livraison.

Pour certains, ce n’est pas un problème.
Pour d’autres, ça peut être bloquant, surtout dans les petites pièces ou les logements évolutifs. Si vous aimez changer la disposition tous les six mois, ce modèle ne vous suivra pas.

Et côté fonctionnalité :

  • Pas de coffre,
  • Pas de coussins déhoussables,
  • Pas de tissu déperlant.

Rien de grave. Mais autant le savoir avant de cliquer.

Revêtements et coloris du canapé Harry Bobochic

Ce qui ressort des avis :

  • Très bon retour sur le confort et la qualité perçue.
  • Le design plaît, le revêtement séduit, l’assise convainc.
  • Pas convertible, pas réversible : à bien anticiper selon votre espace.
  • Peu de plaintes côté solidité ou usure. Plutôt bon signe.

Livraison, garantie et montage

Une fois qu’on a choisi son canapé, le plus dur commence parfois : le faire arriver jusque dans le salon.
Et là, tout peut basculer. Retards, colis mal fichus, montage chaotique… Ou, à l’inverse, une installation fluide, sans accroc.
Sur le papier, Bobochic a tout prévu pour que ça se passe bien. Reste à voir ce que ça implique vraiment.

Modes de livraison et délais

Le canapé Harry Bobochic propose plusieurs options, adaptées aux profils plus ou moins bricoleurs — ou motivés.

  1. Livraison standard : le colis est déposé au pas de la porte (ou de l’immeuble). À vous de vous débrouiller.
  2. Livraison confort (139 €) : dans la pièce de votre choix, à l’étage si besoin. Pas de montage, mais vous ne portez rien.
  3. Livraison + montage (159 €) : ils s’occupent de tout. Colis ouverts, éléments installés, canapé prêt à l’emploi.

Les délais sont raisonnables : entre 10 et 17 septembre annoncés, selon la date de commande. Et pour ceux qui n’en ont pas encore besoin, une livraison différée est dispo pour 9 €. Pratique si vous emménagez plus tard.

Livraison en France (Corse comprise), Belgique et Luxembourg.

En bref : des options claires, des délais corrects, et la possibilité de se simplifier la vie pour quelques dizaines d’euros.

Garantie constructeur et conditions de retour

Le canapé Harry est couvert par une garantie constructeur de 2 ans. Standard pour ce type de produit, mais suffisant pour détecter un défaut de fabrication ou une faiblesse structurelle.

Côté retour : les conditions sont classiques. Le canapé peut être renvoyé sous réserve de respecter les délais légaux (rétractation dans les 14 jours), non utilisé, dans son emballage.
Attention : les frais de retour peuvent être à votre charge, sauf si le produit présente un défaut.

Pas de clause obscure, pas de piège sur la garantie. Mais comme toujours : lire les petites lignes avant de signer, surtout sur un meuble de ce prix.

À monter soi-même : ce qu’il faut savoir

C’est souvent la partie qu’on redoute.
Bonne nouvelle : le montage du canapé Harry est accessible, mais il faut être deux.
Pas juste pour le portage — aussi pour les manipulations, l’assemblage, l’ajustement de la méridienne.

La structure est livrée en kit, avec deux colis bien identifiés.
Il ne s’agit pas d’un montage IKEA à visser à la chaîne, mais d’un assemblage simple à base de clips, glissières, et fixations à main.

Pas besoin d’être bricoleur, mais :

  • Prévoyez une pièce dégagée,
  • Du temps,
  • Et de la patience si vous êtes seul.

Un bon point : aucune pièce mystère ou plan incompréhensible ne semble signalé par les acheteurs. Là aussi, Bobochic reste sobre et efficace.

Accoudoir du canapé Harry de Bobochic dans salon chic

Côté logistique, on retient :

  • Trois modes de livraison : du pas de porte au montage complet, selon vos besoins.
  • Garantie 2 ans, retours dans les normes si produit intact.
  • Montage fait maison, mais pas de galère signalée.
  • Livraison différée possible, pratique pour anticiper un emménagement.

Prix et options de paiement

C’est souvent le moment de vérité.
On peut aimer un canapé, l’imaginer dans son salon, se projeter en train d’y boire un café… mais si le prix pique trop, tout s’arrête là.

Le canapé Harry Bobochic n’est pas un premier prix.
Mais il n’essaie pas non plus de se faire passer pour ce qu’il n’est pas. Il affiche un tarif cohérent, dans le haut de la gamme accessible, avec quelques marges de manœuvre.

Prix catalogue et remises observées

Affiché à 1 699 € prix catalogue, le Harry est régulièrement proposé à 1 499 €, soit une remise de 12 %. Ce n’est pas une “promo flash” tape-à-l’œil, c’est plutôt une baisse stabilisée — presque un prix réel.

Et quand on regarde ce qu’il propose (taille, confort, matières, finition), le rapport qualité/prix reste honnête.
On n’est pas dans le “canapé pas cher” au rabais. Mais plutôt dans la logique du canapé haut de gamme à prix doux : pas donné, mais justifié.

À ce tarif, il rivalise avec des modèles de grandes enseignes plus chers… sans forcément leur céder sur la fabrication (rappel : made in Europe), ni sur les détails de finition.

Pour résumer : c’est un budget, oui. Mais pas déraisonnable si on cherche un canapé pour durer plusieurs années sans faiblir.

Paiement en plusieurs fois : 3x à 36x

Bonne nouvelle pour les budgets serrés ou ceux qui préfèrent étaler : le canapé Harry est disponible en paiement fractionné, et pas qu’un peu.

Voici les principales options :

  • 3x sans frais via Alma ou Paypal.
  • Puis des formules à 10x, 12x, jusqu’à 36x avec Younited.
    (Exemple : 18 x 94,69 €, TAEG à 17,99 %, total dû : 1 704,42 €)

Attention : à partir de 4x, des frais s’appliquent.
Et comme toujours, un crédit engage. Ce n’est pas qu’une petite ligne en bas de page. C’est un vrai engagement.

Mais on apprécie la souplesse : toutes les grandes cartes, Apple Pay, Google Pay, Amex, etc. sont acceptées, avec validation rapide.
Et pour ceux qui ont une rentrée d’argent différée ou un emménagement prévu, ça permet de souffler un peu.

Coussin d'assise en velours côtelé du canapé Harry de Bobochic avec coussin  cale-reins

Côté prix et paiements, ça donne :

  • 1 499 € en promo stable, soit -12 % sur le prix catalogue.
  • Positionné comme un canapé Bobochic pas cher pour sa gamme, sans rogner sur la qualité.
  • Paiement en plusieurs fois très flexible : 3x sans frais ou jusqu’à 36x avec intérêts.
  • Adapté aux achats différés, avec un vrai choix de modes de règlement.

Faut-il acheter le canapé Harry ? Notre avis final

Il y a des canapés qui tapent fort.
Des modèles tape-à-l’œil, bourrés de fonctions, avec éclairage LED, appuis-tête motorisés, et promesse de transfo en lit d’hôtel.
Le canapé Harry Bobochic ne fait pas ce cinéma-là.

Lui, il ne fait qu’une chose : offrir un bon canapé d’angle, bien conçu, confortable, joli, durable. Et franchement, ça suffit largement.

Mais faut-il pour autant l’acheter les yeux fermés ? Pas forcément. Tout dépend de ce que vous attendez vraiment.

Pour qui ce modèle est-il recommandé ?

Le Harry, c’est pour celles et ceux qui cherchent :

  • Un canapé d’angle spacieux, pour accueillir du monde ou s’étaler seul.
  • Un confort équilibré, ni trop ferme, ni trop moelleux.
  • Un revêtement chaleureux et texturé, type canapé gros velours, qui change du tissu plat.
  • Un meuble posé, rassurant, qui reste en place et tient dans le temps.

Il conviendra :

  • Aux familles, qui veulent du solide sans sacrifier le style.
  • Aux amateurs de canapés d’angle velours pour salon moderne, avec une vraie présence visuelle.
  • À ceux qui ne cherchent pas un convertible, mais un vrai coin pour vivre.

Il sera moins adapté :

  • Aux petits espaces (il faut de la place pour qu’il respire).
  • Aux indécis qui aiment retourner leur salon tous les mois (méridienne non réversible).
  • À ceux qui ont besoin d’un lit d’appoint ou d’un coffre intégré.

Mais si vos attentes sont claires, alors le Harry peut vraiment cocher toutes les bonnes cases.

Avantages / Inconvénients en résumé

Les plus :

  • Canapé d’angle spacieux et équilibré, parfait pour un grand salon.
  • Revêtement en velours côtelé épais, doux et résistant.
  • Structure bois solide (pin + hêtre), avec mousse haute densité.
  • Coussins cales-reins inclus, pour un confort modulable.
  • Fabrication européenne, livraison sérieuse, options de paiement souples.

Les points à noter :

  • Non convertible, donc pas d’option lit.
  • Non réversible, la méridienne est fixe.
  • Pas de coffre ni de déhoussage, entretien classique.
  • Prend de la place : canapé 270 cm de long, à prévoir dans l’aménagement.
Vue arrière du canapé Harry Bobochic

En bout de course :

  • Un canapé confortable et moelleux, sans effet cheap.
  • Solide, élégant, simple, avec ce qu’il faut là où il faut.
  • Pas multitâche, pas transformable… mais diablement cohérent dans ce qu’il propose.

On n’achète pas juste un canapé. On achète ce qu’on va vivre dedans.
Et ici, tout laisse penser que ce sera du bon.

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FAQ

Le canapé Harry est-il convertible ?

Non, ce modèle est un canapé d’angle fixe non convertible. Il ne dispose ni de lit d’appoint, ni de coffre de rangement. Il est pensé avant tout pour le confort quotidien, pas pour les couchages d’urgence.

Peut-on changer le côté de la méridienne ?

Non. Le canapé Harry n’est pas réversible. Le côté de la méridienne est à choisir au moment de l’achat, et ne peut pas être inversé une fois le montage effectué.

Est-ce que le velours côtelé attire facilement les poussières ou les poils ?

Le revêtement en velours côtelé épais n’est pas déperlant ni anti-bouloches, donc il peut accrocher un peu. Mais il est résistant aux accrocs et tient bien dans le temps. Un passage d’aspirateur régulier suffit à l’entretien.

Ce canapé est-il adapté aux grands salons ?

Oui, c’est même sa cible principale. Avec 273 cm de long et une méridienne profonde, le canapé Harry est pensé pour les grands salons ou les pièces de vie ouvertes.

Quelle est la qualité réelle du confort au quotidien ?

Son assise équilibrée, sa mousse haute densité et ses coussins cales-reins assurent un vrai confort. C’est un canapé moelleux, mais avec du maintien. Idéal pour les longues soirées, sans effet “cuvette”.

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